16 décembre
Blagues de Patagonie
Francophilie ? Pourquoi l'avion mirage ? |
On appelle cela, vivre en cage. |
Il s'en va où, le berger ? |
Ratafia pour tenir le coup. |
Dormir bourré ! |
L'avantage du hamac, c'est qu'une fois qu'on est dedans, même saoul, on n'en tombe pas quand le bateau roule....... (= se penche d'un bord sur l'autre pour les nuls qui pensent que c'est un bateau à roulettes). 😊 (Rio Seco)
Emportés par le vent. |
Un ours ? Non ! un....... |
Salut au Père Noël ... |
Edmundo, le diable souriant. |
Ou comment on passe d'échanges interculturels sur les recettes à la préparation collective d'un breuvage fort en goût... et en alcool : le Pisco sour 😊 (Hostal Bellavista, Puerto Natales)
Un Patagon. |
Ma cabane au... Canada ? Non, en Patagonie. |
Hâte de rire de tout de peur de devoir en pleurer |
Hisse et ho ! .... Santiano. |
Il n'y a qu'avec Hugues Aufray qu'on peut "hisser ho" une ancre en chantant sourire aux lèvres ... et sans gants en plus. 😊 (San Gregorio)
Pardon..... 😳 ça cesse d'être drôle, mais ça m'a agacé un instant.
Revenons au récit illustré des aventures de deux frangins motards en Amérique du sud.
Le Parc National Torres del Paine fait rêver tous ceux qui consultent des guides de voyage ; est-ce mérité ?
D'abord, il se mérite ; il faut prendre 60km de route depuis Puerto Natales. Facile, sinon que le vent de côté souffle fort encore une fois... mais comme il a été dit, l'accoutumance rend le trajet facile (en plus, les motos sont pour la journée débarrassées des sacs et coffres à bagages).
Dès curiosités rythment l'approche :
- anciens pontons devenus perchoir à oiseaux
- troupeaux en déplacement dans la brume du petit jour (pas montée en estive malgré le printemps).
- bosquets desséchés, peut-être parce que des déboisements ou des éclaircissements partiels les ont ouverts aux vents et fragilisés.
- gauchos souriants, conduisant leurs chevaux vers l'estancia.
Dans le lointain, l'objectif se laisse voir, ou plutôt deviner.
À la route succède une autre route assez chahutée puis la piste de ripio... mais plutôt facile, et le parc livre ses merveilles :
- lac blanc, avec les micro-organismes qui produisent ces sortes de coraux donnant la teinte blanche à l'eau et aux berges.
- lac amer, effectivement empli d'une eau au goût peu agréable et à la consistance poisseuse (quand on trempe les doigts, il est difficile ensuite de se débarrasser d'une humidité grasse).
- flamands roses que Laurent a su approcher discrètement pour enfin une photo convenable en bordure du lac amer.
- guanacos presque confiants ; en fait le petit, tout fou, n'avait pas vu le voyageur photographe.
- cascade et méandres que nous contemplons en faisant une sieste post-pique-nique avec l'espoir que les nuages quitteront les sommets des Torres.
- et les Torres del Paine, coquettes qui se font timides derrière leurs voiles de nuages, enfin apparaissent. Silence, on savoure !
Donc......? Rien de plus mérité que les éloges que l'on fait de ce Parc National ; un enchantement.
Au revoir !
splendide...
RépondreSupprimerje vais finir par vous envier vraiment
Tu aurais tort. N'envie pas, ça n'en vaut pas la peine. Chaque projet personnel vaut tous les autres.
SupprimerNoël c'est déjà demain! Où serez-vous? Joyeux Noël à tous les deux!
RépondreSupprimerMerci, Jean-Luc. Nous venons d'arriver à Perito Moreno après des étapes assez dures (vent violent + pluie + ripio + froid 😆😆😆). Nous alors nous y faire notre petit Noël en observant une pause.
RépondreSupprimer