vendredi 30 septembre 2016

Un avion pour ailleurs

Un avion pour ailleurs. C'est comme ça aujourd'hui 28 septembre que commence notre voyage mais nous n'avons pas toujours fait ainsi. Savez-vous par exemple que nous voyageons tous les deux depuis la nuit des temps de réincarnation en réincarnation. Eh oui ! Dans chacune de nos autres vies,  d'abord nous avons marché  ; plus tard, nous avons mis de petites embarquations sur les cours d'eau ;



après avoir domestiqué les animaux, nous avons chevauché ; avec le progrès technique, nous avons traversé les océans sur des bateaux de plus en plus sûrs ;



les véhicules à moteur nous ont permis d'ouvrir de nouveaux espaces. C'est l'expérience !!!




Nous voici une fois de plus voyageurs ; mais avec le confort des machines modernes et des réseaux numériques, jamais vraiment isolés donc.



Et pour commencer, en Guyane.

Pas colons, ni déportés au bagne, ni spécialistes des engins spatiaux. Quelques jours pour se faire une idée d'un territoire dont on parle surtout à travers la base spatiale.
Sur ce bout de France (vraiment ?) que se sont disputé quelques poignées d'aventuriers français, anglais, hollandais, brésiliens, nous ne jouons pas les Raymond Maufray ; plus l'âge de disparaître dans les eaux d'un fleuve en laissant sous la cabane d'un improbable village un carnet de route pour raconter à  la postérité une Odyssée amazonienne ! "Into the wild" a déjà été raconté et filmé.






4 commentaires:

  1. Tiens, tiens ! Au bagne ?!

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    1. Marie, stp, dis-nous plus précisément qui tu es ; nous connaissons plusieurs Marie. Bises.

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  2. C'est quand que ça commence à être croustillant ?

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  3. Bien arrivés! c'est le principal :)
    Si vous allez à Saint-Laurent du Maroni, peut-être retrouverez-vous la trace d'André Cognat, né en 1938, parti en Guyane chez les indiens en 1961...

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